Urbanisation et artificialisation des sols
Dernier ajout : 12 décembre 2013.
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Un déploiement de l’urbanisation très important
Les évolutions conjointes des modes de vie, de production et de consommation sont à l’origine d’une artificialisation des sols très forte : plus de 25 % en 20 ans. L’habitat, les activités économiques (commerces et services, industries dont agroalimentaire…), les infrastructures de transports et les équipements des collectivités consomment tous du foncier d’origine agricole ou naturel. Lire la page
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Des pressions variables selon les formes urbaines
Avec l’extension des zones urbanisées, les pressions sur les sols et les espaces agricoles et naturels augmentent. La nature et l’intensité de ces pressions dépendent du mode d’urbanisation. Lire la page
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Des modifications de l’usage des sols impliquant des ruptures écologiques et un morcellement des habitats naturels
L’urbanisation et la transformation d’espaces naturels et agricoles entraînent, depuis 50 ans, une perte de surfaces et de linéaires écologiquement importants comme les prairies, les haies et les zones humides. De plus, les infrastructures qui relient les zones urbanisées les unes aux autres morcellent et fragmentent certains habitats naturels. Lire la page
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Des modifications du régime d’écoulement des eaux aux incidences importantes
Le fonctionnement hydraulique naturel du territoire est profondément modifié par l’urbanisation qui segmente, déplace et concentre les écoulements de l’eau. Les inondations, la pollution des cours d’eau et les atteintes à la biodiversité s’en trouvent aggravées. Lire la page
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Des pressions altérant la biocapacité de notre territoire