Ae1Des enjeux de restauration de la qualité de l’air principalement liés aux déplacements, au chauffage, aux industries et au trafic maritime
Malgré le rôle dispersif des polluants joué par les vents côtiers, le nombre de dépassements de la valeur limite journalière en poussière est compris entre 20 et 35 jours par an en moyenne entre 2009 et 2013 sur les deux stations suivies par Atmo NPdC (association chargée par l’État de suivre la qualité de l’air en région).
Avec 747 tonnes de PM10 émises en 2010, le territoire participe pour 4 % aux émissions régionales. Cela correspond à 11 kg/ha/an qui sont produits (contre 16 en moyenne régionale) et les émissions sont de l’ordre de 5 kg/individu/an comme au niveau régional.
Le chauffage, l’agriculture et les déplacements (gaz d’échappement) ont une incidence forte sur la qualité de l’air dans le Calaisis. De nombreuses industries (chimiques, métallurgique, etc.) sont également émettrices de pollutions atmosphériques (NOX notamment).
Enfin, le trafic maritime est un poste d’émission de polluants atmosphériques important sur le territoire même si celui-ci est mal connu.