La Lettre des études n°17 Septembre 2014
 

Edito

Virginie MAIREY-POTIER

Ce numéro 17 de la Lettre des études Nord – Pas-de-Calais est entièrement consacré aux risques naturels et technologiques.

Deux communes sur trois du territoire sont concernées : les inondations constituent le risque le plus fréquent, le risque d’effondrement ou de mouvement de terrain affecte plus de trois cents communes de la région situées à l’aplomb d’anciennes carrières ou de mines. Les 140 km de côtes littorales du Nord – Pas-de-Calais sont parmi les plus exposés en France aux risques d’érosion et de submersion marine, aggravés par les effets prévisibles du changement climatique. La région connaît aussi l’une des plus fortes concentrations d’établissements industriels de type « Seveso » qui font peser d’importants risques technologiques sur les personnes, les biens et l’environnement.

Mobilisé aux côtés des pouvoirs publics dans la prévention des risques et la gestion des crises, le Cerema apporte une expertise pluridisciplinaire fondée sur son expérience de terrain. Son ancrage territorial lui permet d’intervenir partout et à tous les niveaux : de la connaissance de l’aléa à la réduction de la vulnérabilité, de la préparation de la crise aux retours d’expérience.

Je vous souhaite une bonne lecture, à la découverte notamment des Wateringues, l’une des seules zones de polder en France.

Virginie MAIREY-POTIER, directrice adjointe de la DTer Nord-Picardie du Cerema

A la Une : Littoral

Etude régionale sur la submersion marine et conséquence en termes de PPRL

crédits photo Wimereux : DDTM62 en grand format (nouvelle fenêtre)
crédits photo Wimereux : DDTM62

La tempête Xynthia a rappelé en 2010 la violence des phénomènes pouvant s’abattre sur le littoral. Depuis 2006, les services de l’État en région Nord – Pas-de-Calais ont travaillé à mieux connaître ces risques via un programme d’études ambitieux. L’étude d’aléa pilotée par la DREAL a caractérisé la submersion marine sur les zones littorales et arrière-littorales de la région, en intégrant l’élévation du niveau marin, conséquence attendue du changement climatique.

Sur la base des cartes d’aléa, 5 plans de prévention des risques littoraux (PPRL) sont en cours d’élaboration par les DDTM 59 et 62 afin de maîtriser l’urbanisation dans les zones à risques. Après analyse des enjeux et de leur vulnérabilité, ils identifieront les zones dans lesquelles les constructions doivent être interdites et celles dans lesquelles elles doivent respecter des obligations précises. Dans l’attente de leur approbation, les autorisations d’urbanisme sont instruites sur la base du Porter à Connaissance de l’étude d’aléa et de règles transitoires.

Contacts : Marie-Alexandrine BERTAUX-VALERE – DREAL Nord-PdC/SR/DRNHM/CPRN (marie-alexandrine.bertaux@developpement-durable.gouv.fr), Manuel PHILIPPE - DDTM59/SSRC/PPR (manuel.philippe@nord.gouv.fr) et Olivier COUSIN - DDTM62/SER/PPR (olivier.cousin@pas-de-calais.gouv.fr)

En savoir plus : http://www.nord-pas-de-calais.developpement-durable.gouv.fr/?-Risques-naturels-littoraux-

Risque de submersion marine et marchés fonciers et immobiliers

La caractérisation de l’aléa sur le Nord – Pas-de-Calais a conduit à la prescription de 5 PPRL touchant 48 communes.

Dans ce contexte et face aux interrogations des élus, la DDTM du Pas-de-Calais a souhaité savoir si la prise en compte du risque a, ou aura, un effet sur le prix des logements et du foncier. Cette mission a été confiée au « PCI foncier et stratégies foncières » du Cerema.

La première phase de l’étude a approché cette question de manière qualitative, par l’intermédiaire d’entretiens locaux. Elle a conclu que globalement peu d’effets sont notés pour ce risque qui reste encore peu perçu.

Une deuxième phase plus quantitative, réalisée à partir des données Demandes de Valeurs Foncières (DVF), a mis en évidence l’absence de report de vente hors zone d’aléa, notant même des prix plus élevés ponctuellement au sein de la zone.

L’analyse par méthode des prix hédoniques a confirmé que l’accès au littoral était plus une aménité qu’un élément dépréciateur, mais a fait apparaitre cependant un début d’influence sur le prix des maisons individuelles.

Contact : Nicolas LEPENNE – DDTM 62/CT Côte d’Opale/Atelier Territorial (nicolas.lepenne@pas-de-calais.gouv.fr)

en savoir plus : http://intra.ddtm-62.i2/eau-et-risques-a2697.html (accès intranet)

Cartographie de l’ensemble de la connaissance des risques littoraux

Dans le cadre de la cellule technique littorale (État, Région et Pôle Métropolitain de la Côte d’Opale), une synthèse des connaissances des risques littoraux sur l’ensemble du littoral régional a été établie en intégrant notamment :

  • la nature et l’état des ouvrages de protection du littoral (dunes, digues, épis …),
  • l’intensité des phénomènes d’érosion du trait de côte,
  • les zones inondables par submersion marine (voir l’étude régionale présentée ci-dessus),
  • les enjeux exposés à ces aléas.

Des cartographies de synthèse ont notamment été produites, qui permettront d’identifier les orientations de gestion du littoral à mettre en œuvre.

Contact : Thomas VIAL – DREAL Nord-PdC/SR/DRNHM/CCSOH (thomas.vial@developpement-durable.gouv.fr)

Etudes sur la digue de Sangatte

La digue de protection contre les submersions marines de Sangatte est actuellement dans un état vétuste justifiant un confortement.

La Direction Territoriale Nord-Picardie du Cerema réalise une prestation d’assistance à maîtrise d’ouvrage pour la DDTM du Pas-de-Calais concernant l’étude de dangers et la mission de maîtrise d’œuvre du confortement.

Cette assistance consiste en l’aide à la rédaction des appels d’offres, en l’analyse des mémoires techniques des candidats et en l’avis sur les missions d’ingénierie.

Contact : Julien HABERT – CEREMA/DTerNP/RDT/MRG/MF (Julien.Habert@cerema.fr)

Wateringues

Les zones inondables en pieds de coteaux des Wateringues

La DDTM du Nord a étudié la vulnérabilité aux inondations des secteurs des pieds de coteaux des wateringues, dans le but de confronter la topographie du secteur aux zones d’inondation constatées empiriquement.

Ainsi, après avoir défini le fonctionnement hydraulique du secteur, une analyse fine au moyen du LIDAR a été produite et a abouti sur la définition de trois zones, pour lesquelles des préconisations d’urbanisme ont été émises, en tenant compte de la situation du projet au regard du zonage du document d’urbanisme et de sa nature.

Contacts : David SZAREK – DDTM 59/Délégation Territoriale des Flandres/EER (david.szarek@nord.gouv.fr) et Manuel PHILIPPE – DDTM 59/SSRC/PPR (manuel.philippe@nord.gouv.fr)

Etude Hydratec sur le débordement des watergangs

Des cartographies des zones inondables par débordement des watergangs ont été élaborées sur l’ensemble du polder sous pilotage de la DREAL. Huit scénarios ont ainsi été modélisés, combinant deux scénarios de pluie (centennal ou millénal), deux projections de l’élévation du niveau marin moyen (+20 ou +60 cm), et différents scénarios de pannes des pompes agricoles et des grands ouvrages de pompage (lors de la crue de novembre 2009, le système de pompage a permis d’évacuer à la mer près de la moitié des volumes d’eau). On constate que les zones inondées sont majoritairement en retrait sur le polder (marais Audomarois et Calaisis), et qu’en l’absence de pannes, le système wateringues est bien plus robuste que supposé.

Contact : François CLERC – DREAL Nord-PdC/SR/DRNHM (francois.clerc@developpement-durable.gouv.fr)

Risques industriels et technologiques

L’industrie au regard de l’environnement

Pour la 24ème année, les chiffres clés 2012 de l’Industrie au Regard de l’Environnement (IRE) sont disponibles. Les émissions dans l’air, les rejets dans l’eau, la production et les traitements de déchets, les polluants retenus dans les sols, les rejets radioactifs, l’accidentologie de 750 sites industriels déclarants sont détaillés. Outre les rejets des installations classées pour la protection de l’environnement, certains rejets urbains dans l’eau, les volumes de déchets ménagers collectés et traités y sont également précisés. Ces informations s’intègrent désormais dans le document plus global et plus ambitieux que constitue le Profil régional de l’environnement.

Contact : François CLERC – DREAL Nord-PdC/SR/DRNHM (francois.clerc@developpement-durable.gouv.fr)

La ressource

Observatoire de l’évolution du trait de côte du Pas-de-Calais

Quatre questions à Frédéric Fasquel, responsable du Service des Affaires Maritimes et du Littoral de la DDTM du Pas-de-Calais

Frédéric Fasquel

Lettre des Études : Pouvez-vous présenter l’observatoire de l’évolution du trait de côte dans le Pas-de-Calais ?
Frédéric Fasquel : Il s’agit d’un programme bi-annuel de suivi topographique des hauts estrans, initié en 1996, et défini au sein de l’arrondissement littoral du Service Maritime des ports de Boulogne-sur-Mer et Calais. Ce programme a pour objectif de connaître plus précisément les phénomènes d’érosions et leurs aléas afin de répondre à des problématiques de gestion de l’érosion du trait de côte. Ce programme de suivi concerne une centaine de points de mesures.

LE : Quels sont les enjeux liés à l’évolution du trait de côte ?
FF : Le recul du trait de côte du littoral du Pas-de-Calais concerne 75 à 80 % de son linéaire avec une érosion plus marquée sur les secteurs situés entre la baie d’Authie et le Cap Blanc Nez.
Les enjeux sont :

  • la sécurité des personnes et des biens,
  • la gestion douce du trait de côte,
  • l’évolution vers une doctrine de recomposition spatiale du territoire,
  • la mise en œuvre de solutions durables de défense contre la mer,
  • la connaissance du fonctionnement du littoral, la mise en évidence des sites qui subissent de fortes érosions.

Ces enjeux s’inscrivent dans la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte.
L’urbanisation en front de mer développée au 20e siècle s’est accompagnée de défenses contre la mer (perrés maçonnés, rangées de pieux de bois, …), fragilisées aujourd’hui. Une bonne connaissance de l’évolution du milieu sédimentaire et géologique permet d’anticiper les actions à mener pour pérenniser l’existant.

Pendant longtemps une vision dure de la gestion du trait de côte a régné, le discours de l’État était principalement de le fixer.

Progressivement ce point de vue a évolué, des stratégies ont été élaborées avec des plans d’action par bassin de risques. La défense contre la mer ne se conçoit plus seulement par des ouvrages « en dur ». Par exemple, le rôle des avants dunes pour l’équilibre des plages est désormais mieux considéré.

LE : Quels enseignements et utilisations des données récoltées ?
FF : Elles permettent d’informer sur la réalité objective de l’évolution des sites littoraux. Ces données peuvent mettre en évidence des relations de cause à effet par rapport à des activités littorales (constructions d’ouvrages, extraction de sédiments, …) et permettent d’évaluer des échéances temporelles pour des interventions économiquement difficiles à mettre en place comme la reconstruction d’un perré.

Les données produites par le service des affaires maritimes et du littoral de la DDTM62 sont régulièrement transmises à des universitaires ou à des bureaux d’études et mises à la disposition des maîtres d’ouvrages et des collectivités locales.

LE : Quelles perspectives pour les années à venir ?
FF : Les aménagements doux sont de plus en plus étudiés et mis en œuvre.
Cependant, la notion de recul stratégique est difficile à intégrer. Un hiver particulièrement agité (comme l’hiver dernier) avec une succession de nombreuses tempêtes (plus des surcôtes) peut amener certains décideurs à faire des choix d’aménagements précipités, qui auront des impacts négatifs sur plusieurs décennies (enrochements parfois très importants sur la côte atlantique, …) : blocage des échanges sédimentaires, diminution de la capacité de résilience des plages. Or pour observer et essayer de projeter l’évolution du trait de côte, il faut se donner du temps, faire des comparaisons sur de longues périodes tout en suivant minutieusement les dernières tendances. Parfois les ouvrages implantés doivent être évalués sur des périodes suffisamment longues pour faire des retours d’expériences pertinents.

Dans un contexte économique où la puissance publique doit faire des choix, une vision stratégique est indispensable pour hiérarchiser les enjeux et mettre en avant des solutions pérennes.
Cela implique aussi de se poser la question de la maîtrise d’ouvrage car de nombreuses petites communes ont des budgets sans aucun rapport avec les moyens adéquats pour entreprendre une gestion et des aménagements durables du trait de côte.

Enfin, il me semble important de citer un travail en cours particulièrement intéressant : l’étude pilotée par le Pôle Métropolitain Côte d’Opale (PMCO) « stratégie de gestion du trait de côte dans le NPdC » qui doit mettre à jour le PLAGE (Plan Littoral d’Actions pour la Gestion de l’Érosion sur le littoral de la Côte d’Opale), afin de mettre en évidence les enjeux par bassin de risques et prévoir un volet opérationnel pour faire émerger des solutions locales de gestion intégrée du trait de côte.

Contacts : Frédéric FASQUEL – DDTM 62/DML/SAML (frederic.fasquel@pas-de-calais.gouv.fr) et Stéphane BRIMEUX – DDTM 62/DML/SAML/GDPML (stephane.brimeux@pas-de-calais.gouv.fr)

En Chiffres

52 600

C’est le nombre d’habitants aujourd’hui en zone inondable par une submersion marine « centennale » en Nord – Pas-de-Calais.

Vient de paraître

Cartographies des territoires à risques importants d’inondation du bassin Artois-Picardie

Les cartographies de neuf territoires à risques importants d’inondation (TRI) du bassin Artois-Picardie ont été approuvées (Abbeville, Amiens, Béthune – Armentières, Calais, Douai, Dunkerque, Maubeuge, Saint-Omer et Valenciennes, ce qui représente 242 communes), avec plusieurs types de cartes au 1/25000 :

  • trois cartes des surfaces inondables (événements fréquent, moyen et extrême) avec une information sur les surfaces inondables et les hauteurs d’eau,
  • une carte de synthèse présentant l’enveloppe des surfaces inondables des trois événements,
  • une carte des risques présentant les enjeux situés dans les surfaces inondables, les populations et les emplois exposés.

La consultation sur la cartographie des TRI de Lens et Lille s’est terminée le 31 juillet 2014.

Contact : Marie-Alexandrine BERTAUX-VALERE – DREAL Nord-PdC/SR/DRNHM/CPRN (marie-alexandrine.bertaux@developpement-durable.gouv.fr)
En savoir plus : http://www.nord-pas-de-calais.developpement-durable.gouv.fr/?Cartographie-des-TRI

Maîtrise des activités au voisinage du C.N.P.E. de Gravelines – Pré-diagnostic de territoire

La circulaire du 17 février 2010 a posé un cadre national pour la concertation locale sur la maîtrise des activités au voisinage des installations nucléaires de base.

Dans ce cadre, la DDTM du Nord a réalisé autour du Centre Nucléaire de Production d’Electricité de Gravelines un pré-diagnostic de territoire sur lequel les services de l’Etat s’appuieront pour identifier les perspectives de développement à l’intérieur et aux abords de la zone d’aléa à cinétique rapide, en concertation avec les acteurs du territoire.

Contact : Fédérik POTISEK – DDTM 59/Délégation Territoriale des Flandres/PACT (federik.potisek@nord.gouv.fr)

Expertise de la falaise d’Equihen-Plage

Equihen-Plage est concernée par le PPR falaises du Pas-de-Calais. Suite à une soixantaine d’années de relative stabilité, l’érosion de la falaise s’est accélérée en début d’année 2013.

La DDTM62 a missionné le Cerema pour l’évaluation du risque menaçant les habitations situées en corniche. La Dter NP du Cerema a analysé le mécanisme de recul de la falaise en observant sa géologie et a conseillé la DDTM62 sur les actions à engager pour la mise en sécurité des biens et des personnes exposés.

Contact : Cedric LEFEBVRE – Cerema/DTerNP/RDT/MRG/GR (Cedric.Lefebvre@cerema.fr)

Rôle du Référent Départemental Inondation (RDI)

Une des missions du RDI est de transmettre à la préfecture des données sur les enjeux exposés pendant les inondations, ce qui permet par exemple d’anticiper les évacuations de populations ou les routes impraticables.

À cette fin, un travail important de recherche issu d’une forte coopération entre services a été nécessaire pour mettre en œuvre un outil SIG capable d’associer zones inondables et synthèses sur les enjeux de vulnérabilité.

Cet outil, qui permet déjà d’estimer simplement la gravité de l’inondation attendue, a vocation à être mis à disposition des cadres de permanence de la DDTM du Pas-de-Calais en situation de gestion de crise.

Contact : Emmanuel DUEE – DDTM 62/SER/CPR (emmanuel.duee@pas-de-calais.gouv.fr)

Dossiers en cours

Etude sur la réduction de la vulnérabilité par rapport aux cavités souterraines

Face aux risques liés aux cavités souterraines de leur territoire, certaines communes sont démunies, faute d’ingénierie adaptée.

Afin de les accompagner, la DDTM du Nord réalise avec l’assistance de l’Ineris :

  • un fascicule pédagogique d’acculturation des élus au risque cavité,
  • une démarche-type de gestion du risque,
  • des outils d’aide à la décision et de rédaction de cahiers des charges adaptés aux différents modes d’intervention (surveillance, traitements).

Les documents seront disponibles fin 2014.

Contact : Jérôme CANDELLIER – DDTM 59/SSRC/PPR (jerome.candellier@nord.gouv.fr)

Etudes de caractérisation des risques sur le Valenciennois et l’Avesnois

Des études de caractérisation des risques naturels sont engagées depuis 2013 sur les communes des arrondissements de Valenciennes et d’Avesnes non couvertes par un PPR.

Par l’analyse des territoires, l’objectif est de recenser et compléter la connaissance sur ces risques (cavités, inondations et particulièrement ruissellement).

Cet état des risques synthétisé et cartographié sera porté à la connaissance des collectivités pour garantir leur prise en compte dans les autorisations et documents d’urbanisme.

Contact : Jérôme DEFROIDMONT – DDTM 59/SSRC/PPR (jerome.defroidmont@nord.gouv.fr)

Etude HYDRATEC sur la remontée de la nappe phréatique Nord-Arrageois

Le Service Eau et Risques de la DDTM du Pas-de-Calais pilote une étude destinée à améliorer la connaissance, cartographier les zones inondables et évaluer les principaux enjeux des inondations par remontée de la nappe phréatique sur le territoire du bassin versant de la Scarpe-amont et de ses affluents (19 communes).

L’objectif de cette étude est de proposer des actions d’information et éventuellement des préconisations d’urbanisme afin de veiller à ce que le risque n’augmente pas sur les communes où des PPRI communaux ont été prescrits.

Contacts : Emmanuel DUEE – DDTM 62/SER/CPR (emmanuel.duee@pas-de-calais.gouv.fr) et Patrick MORIZE – DDTM 62/SER/CPR (patrick.morize@pas-de-calais.gouv.fr)

Campagne de détection aérienne des ISDI dans le Pas-de-Calais

Cette photographie est extraite de la campagne de recensement par détection aérienne des installations de stockage de déchets inertes (ISDI) non autorisées.

Sur une cinquantaine de sites suspects détectés, les visites de terrain programmées à posteriori ont permis de constater qu’une vingtaine de situations s’avéraient réellement illégales et nécessitaient une régularisation administrative ou une remise en état.

Contact : DDTM62/SEAD/DDT (ddtm-sead-ddt@pas-de-calais.gouv.fr)

Directeur de la publication :

 

Isabelle DERVILLE, Directrice par intérim de la DREAL Nord - Pas-de-Calais

Comité de rédaction :

  • Julien MATHIEU (DREAL Nord Pas-de-Calais/SC/DSES),
  • Didier PALUCH (DREAL Nord Pas-de-Calais/SC/DSES),
  • David TORRIN (DREAL Nord – Pas-de-Calais),
  • Maggy TORCHY (DDTM59/SUCT),
  • Gauthier TURCO (DDTM62/SEAD).
  • Anne-Laure MILLET (Cerema/DTerNP).

Contributeurs :

Marie-Alexandrine BERTAUX-VALERE, François CLERC, Thomas VIAL (DREAL Nord – Pas-de-Calais), David SZAREK, Fédérik POTISEK, Jérôme CANDELLIER, Jérôme DEFROIDMONT, Manuel PHILIPPE (DDTM 59), Emmanuel DUEE, Frédéric FASQUEL, Hélène LEMOINE, Nicolas LEPENNE, Olivier COUSIN, Patrick MORIZE, Stephane BRIMEUX (DDTM 62), Cedric LEFEBVRE, Julien HABERT, Virginie MAIREY-POTIER (Cerema).

Réalisation graphique : DREAL Nord Pas-de-Calais/SC/DSIC


Contact : DREAL Nord-Pas-de-Calais/SC