Enquête A25

AMÉNAGEMENT DE L’A25 : 10 MINUTES POUR APPORTER VOTRE CONTRIBUTION

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MODALITÉS DE L’ENQUÊTE

Quel que soit votre statut, dès lors que vous utilisez l’A25 ou que vous évitez de l’emprunter pour éviter les bouchons ou pour toute autre raison, cette enquête vous concerne. Travailleurs, étudiants, retraités, lycéens ou autres… Vous êtes tous invités à vous prononcer sur vos préférences de déplacements.

Dix minutes suffisent à répondre aux quatre parties de l’enquête :

  • La première partie porte sur votre situation et vos pratiques de mobilité sur un trajet récent.
  • La deuxième partie comporte des scénarios de déplacement (seul en voiture, covoitureur, train) dans lesquelles on vous demandera de préciser vos préférences selon des critères de coût, de temps de trajet, de fréquence…
  • La troisième partie consiste à faire le choix entre 2 options pour votre mode de déplacement actuel selon des critères de coût et de temps
  • La dernière partie est qualitative avec des questions sur le covoiturage.

Plus il y aura de répondants à cette enquête, plus le projet d’aménagement de l’A25 sera adapté aux attentes de la population. C’est pourquoi il est tout à votre avantage d’y prendre part. Cette enquête est strictement anonyme et vous ne devrez communiquer ni informations personnelles ni adresse mail.

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POURQUOI CETTE ENQUÊTE ?

Cette étude s’inscrit dans le projet de création d’une troisième voie, éventuellement dédiée au covoiturage, entre Armentières et Lille. Son objectif est de mieux connaître les choix de déplacement sur le corridor de l’A25.

La Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement des Hauts-de-France, maître d’ouvrage de ce projet, entreprend cette étude afin de prédire le comportement des usagers de façon à savoir si l’aménagement est pertinent. Il s’agit également de vérifier que cette nouvelle voie ne ferait pas concurrence au mode ferroviaire.

Cette incitation au covoiturage répond aux enjeux climatiques, sachant qu’un trajet seul en voiture émet 2 à 4 fois plus de gaz à effet de serre que le même trajet en covoiturage et 8 fois plus qu’en TER.
Un trajet quotidien domicile-travail de 40 km aller-retour génère 2 tonnes de CO2e par an. C’est autant que l’objectif d’empreinte carbone par habitant pour contenir le réchauffement climatique à +2°C d’ici 2100 (source : Ademe).

Parallèlement, la DREAL souhaite mieux comprendre les facteurs d’incitation et les freins à l’utilisation du covoiturage.

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